J'ai toujours aimé les travaux manuels et tout particulièrement le tricot.
C'est donc tout naturellement que j'ai été amenée à réaliser des tenues pour les poupées et poupons que j'affectionne depuis l'enfance.

jeudi 21 janvier 2016

Emilie à la neige


Bonjour,


Dans mon article précédent, je vous invitais à découvrir la fabrique française de poupées, Petitcollin.


Aujourd'hui je vous présente Emilie, une poupée fabriquée en exclusivité par Petitcollin, pour le magazine Modes&Travaux.





Et puisque la neige est tombée dans les Vosges, elle est ravie de porter une tenue adaptée.





J'ai aimé tricoter cet ensemble.


Certes la robe a demandé beaucoup d'attention afin de ne pas commettre d'erreurs dans la réalisation des motifs, mais ce n'est pas sans me déplaire.





Et le résultat en vaut la peine, n'est-ce pas ?

D'ailleurs si la tenue vous plait, elle est disponible à la vente dans ma petite boutique, ici





Emilie et moi vous souhaitons une très belle journée.




A bientôt.



mercredi 13 janvier 2016

Poupées Petitcollin, article de presse




A Etain, dans la Meuse, l’usine de poupées Petitcollin a des allures de survivante. Haut de gamme et originalité lui permettent d’être la dernière fabrique de poupées en France et de résister au raz de marée de jouets made in China.


Depuis septembre, Petitcollin à Etain vit au rythme des commandes de Noël. Les poupées traditionnelles des années 50 et 60   sont toujours fabriquées selon les méthodes de l’époque. Celles dessinées par Sylvia Natterer dopent les ventes, notamment à l’export.


Depuis septembre, Petitcollin à Etain vit au rythme des commandes de Noël. Les poupées traditionnelles des années 50 et 60 sont toujours fabriquées selon les méthodes de l’époque. Celles dessinées par Sylvia Natterer dopent les ventes, notamment à l’export.Combien d’enfants vont découvrir cette nuit leur poupée Petitcollin au pied du sapin ? Bien moins qu’en 1934 où la bagatelle de 1,8 million de baigneurs avaient été vendus. Aujourd’hui, ce sont 30 000 poupées qui sortent de l’atelier meusien ; machines et moules ancestraux toujours en action. Assise devant une petite table en bois, Linda habille le baigneur série limité des Poilus, destiné au musée. « Je joue à la poupée », lance-t-elle tout sourire, rayonnante dans une usine pourtant sombre et vieillotte. « J’adore mon métier. » Elle fait partie des cinq salariés à plein-temps qui tournent sur tous les postes. On est loin de la ruche des années 60 et ses mille ouvrières.Assemblage, pose des cheveux, des yeux, décors au pistolet, habillage. Création et fabrication des vêtements sont soignées. Chaque année, 20 000 poupées habillées, 50 000 pièces assemblées, des collections tenues secrètes avec stylistes extérieurs et deux couturières à domicile. « Mais ça ne suffit pas », admet Yvan Lacroix, directeur du site. « D’où notre sous-traitance en Tunisie pour les pièces les plus simples. Certains modèles sont aussi compliqués à assembler que de la lingerie fine. »Sur les tableaux, les prénoms restent affichés, comme Jean-Michel, Francette, Sylvie ou Marie-Françoise, la poupée star des années 50 rendue populaire par Modes & Travaux.« Aujourd’hui, celui qui choisit Petitcollin achète une histoire, une image et une qualité. » La maison se fait fort de toujours fabriquer les modèles qui ont forgé sa réputation. « On est dans le jouet traditionnel, un patrimoine riche, une marque ancienne qui fédère différentes générations. On est prisé des collectionneurs. Certaines poupées montent jusqu’à 1 000€. »


Petitcollin a conservé ses modèles mythiques, ceux qui ont fait son succès dans els années 50 et 60. Mais l'usine ose aussi l'innovation, en créant de nouveaux modèles, designer par Sylvia Natterer, un designer autrichien qui vit en Allemagne, venue proposer ses modèles spécifiques à Etain. Cette nouvelle collection a permis à Petitcollin d'augmenter son chiffre d'affaires, notamment à l'export. Photo Anthony PICORE.

Signées Sylvia Natterer

Quinze modèles différents sont déclinés dans des tailles, couleurs, coupes de cheveux différentes : traditionnel, corps souple, poupée mannequin ou d’autres aux longs cheveux à coiffer. Ce qui ne signifie pas que l’entreprise ne cherche pas l’innovation. « On travaille de nouvelles couleurs de peau pour l’an prochain. »Les poupées à corps souples, très à la mode, appréciées des tout-petits, sont fabriquées en Espagne. Le directeur, qui dirige également Vilac et JeuJura, le justifie par le coût de la main-d’œuvre et pour « faire face à la concurrence ».La nouveauté ce sont les poupées signées de la designer autrichienne Sylvia Natterer. Elles boostent le chiffre d’affaires et font croître la part à l’export, ouvrant les marchés allemands et autrichiens au-delà des 50 pays déjà distribués. « Dès qu’on a présenté la collection en janvier dernier, on a su que ce serait un succès. » Avec 50 % de son chiffre d’affaires réalisé sur les trois derniers mois de l’année, Petitcollin n’a pas les moyens de se tromper sur ses choix. « Les poupées Sylvia Natterer sont fabriquées en flux tendu. On n’arrive pas à suivre la demande. » A la venue d’Yvan Lacroix en 1990, l’usine vivait sa petite mort. « On a mis vingt ans à monter en gamme. J’ai toujours pensé qu’un jour ou l’autre, le made in France reviendrait, même si 80 % des jouets vendus en France sont fabriqués en Chine. »



Une galerie photo à découvrir ici:


http://c.republicain-lorrain.fr/actualite/2015/12/23/photos-la-fabrique-de-poupees-petitcollin-a-etain


Laurence SCHMITT



J'espère que vous aurez apprécié ces quelques lignes et les belles photos de la galerie, dont est extraite celle ci-dessous.




Chaque année, Petitcollin sort un modèle unique pour son musée. Cette année, c'est le petit Poilu, hommage à  la commémoration de la guerre 14-18. Photo Anthony PICORE.
Chaque année, Petitcollin sort un modèle unique pour son musée. Cette année, c'est le petit Poilu, hommage à la commémoration de la guerre 14-18.
Photo Anthony PICORE





Je vous souhaite une très belle journée.



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A bientôt.



dimanche 10 janvier 2016

Barbie ouvre le bal

Bonjour,

Voici la première tenue de l'année 2016.
Et c'est Barbie qui vous la présente.


Une petite robe simple.


Avec un petit noeud de satin qui apporte une touche d'élégance supplémentaire.


Je reconnais que Barbie est très agréable à habiller et à photographier.


Je vous quitte pour aujourd'hui avec une dernière photo, non sans vous rappeler que si la robe vous plait, elle est en vente dans ma boutique, ici



Je vous souhaite un 



A bientôt.


vendredi 1 janvier 2016

Très belle année 2016


En ce premier jour de cette nouvelle année 2016, je vous souhaite beaucoup d'amour, de tendresse, de douceur et de la joie ainsi que la santé et la réalisation de vos voeux les plus chers.







A bientôt.